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Abstract

Cet article propose une lecture parallèle du roman Nom de Constance Debré, à travers le prisme théorique de la mémoire collective et de ses multiples mécanismes. En mobilisant les concepts développés par Maurice Halbwachs et Jan Assmann, l’analyse met en lumière les différentes sphères de mémoire, leur influence dominante, ainsi que leur rôle dans la construction de l'identité de l'auteure. Cette étude interroge la fonction de l'écriture pour Debré et son importance dans son processus d'émancipation. L’essai explore également la manière dont les structures de mémoire et d'identité sont articulées et évoluent au sein du récit.

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